On parle de mouuuua!

Alors juste retour des choses, je vous parle de l'article qui parle de moi (quoi quoi de la pub?? et aloooors?).
On ne parle pas que de moi (ouuéé fais gaffe à la grosse tête, t'as déjà un gros bide, essaye de faire en sorte que le reste garde une taille acceptable), alors pour tous ceux qui s'intéressent au rugby, qui s'intéressent au filles qui s'intéressent au rugby, allez donc voir par là ce qu'il s'y passe: quand les filles s'en mêlent.

Quand je pense que je suis dans la même catégorie que Madame Castaignède. Il y a quelques années (ouéé une bonne grosse dizaine d'années) mes copines et moi on la détestait un peu madame Castaignède. Elle avait le plus beau mec du Stade Toulousain (en compétition serré avec Xavier Garbajosa), nous on avait nos yeux pour pleurer (et pour regarder Thomas et Xavier en short...). Aujourd'hui, je suis trop fière, je crois que je vais dire à tout le monde que Madame Castaignède c'est trooooooooop une bonne copine :)

Et vous, vous êtes dans quelle catégorie?

Comments

[Snodroppe]

Bonjour, arrivée ici par hasard, mais heureux hasard!...
Dans quelle catégorie suis-je donc??!!...
Celle des volontaires pour la coupe du monde de rugby pour commencer, des bloggeuses qui parlent de rugby aussi...des femmes qui aiment le rugby, pour faire simple!
Et je vais poursuivre ma visite de ce lieu!

[cocokekos]

Bien vu... Mais c'est mérité, ton blog est très bien écrit, très drôle. Je m'y connais peu en rugby et en femmes (;-)) mais tu arrives à rendre tes articles intéressants par les formulations, l'écriture, les histoires... Bravo !

[AL]

La star !!! Tu continueras quand même à nous parler, dis ? ;-)

PS : J'ai une collègue qui jouait dans le même club que M. Mariel dis !

[melc]

les journalistes !
sauf que j'ai pas encore eu droit aux itws dans les vestiaires, c'est l'avantage de bosser pour des mags, on s'en fout du commentaire d'après match, on s'attarde plus sur la personnalité des joueurs, leur parcours etc. du coup, pas la peine de stresser pour avoir la petite phrase qui tue en provenance directe des vestiaires.